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Pour que les mots tues ne soient pas des poisons

12 avril 2020

Les schémas répétitifs

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Il n’a évidemment pas répondu à mon mail.

Deux jours plus tard, alors que son silence me précipite dans un abyme de souffrance, je décide de changer de ton.

Je lui faire part de mon inquiétude pour lui face à son silence. Quelques heures (quand même !) plus tard il me dit être au plus mal.

"Comme moi", je lui réponds.

Le lendemain je continue sur ce ton de douceur et, ayant l’attention qu’il attend, il remet ses œillères pour retourner dans le déni et enchaine sur les « mon amour, je t’aime »… (no coment !!!)

Coup de théâtre, en soirée il m’apprend qu’il a déménagé sa fille chez lui pour lui permettre de fuir l’agressivité de son compagnon.

La similitude me saute aux yeux :

-         Son père était irrespectueux et il a grandi dans un climat habituel d’agressivité et de violence

-         Lui, s’est montré irrespectueux, agressif et menaçant avec la mère de sa fille et la compagne qui a suivi.

-         Sa fille, comme tout enfant s’est construit par mimétisme et, a choisi un compagnon irrespectueux, agressif et menaçant.

 

Il va le faire le lien entre tout ça ? Va-t-y le faire ? Va-t-il revoir les scènes d’avec moi ou il criait, menaçait frappait les murs et cassait une porte ?

Je lui envoie un autre sms avant de sortir prendre le soleil : « Prends bien soins d’elle, il faut qu’elle se reconstruise »

Il va le faire le rapprochement ? Va-t-y comprendu ?

Pas de réponse… se pourrait-il alors que les connexions se soient faites et qu’il soit phase de « pleine conscience » ?

Ou juste avec sa fille en mode « ho, il exagère ton compagnon, il est vraiment méchant, ça se fait pas… » Et ainsi se placer du côté des « gentils » qui savent ce qui se fait ou pas…

Hier, j’échangeais avec une amie qui vit la même chose et notre stupéfaction commune portait sur le fait que, même devant le gâchis d’une vie, d’une histoire ; même au cœur de la souffrance… pourquoi les personnes qui vivent ces situations refusent de faire « le pas de côté » pour sortir de ces schémas ?

« Il appartient à chacun de devenir qui il voudrait être. Demander de l’aide fait partie des moyens pour y parvenir. 

A l’inverse, se conforter dans une soi-disante incapacité à le faire, c’est choisir de reporter sur notre entourage le poids de nos difficultés. »

 

 

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9 avril 2020

Errance

carriecc80res-faire-pitiecc81_c100Ma raison s'évapore et la réalité se dilue...

Rien d'étonnant au vu de la fatigue qui s'accumule et de l'hygiène de vie chaotique des trois dernières semaines...

Et bien ce matin, après un petit dèj que je déconseille à mes clients mais dont le poison me procure une brulure anesthésiante, le besoin d'exprimer c'est fait sentir plus fort encore que ces jours derniers et, la lettre que je lui ai écrite qui devait rester dans les méandres de mon journal intime électronique est.... partie dans sa boite mail après que, dans un état second, j'ai appuyé sur "envoi"...

Cette lettre, je la partage ici. C'est un endroit anonyme mais, le fait de se savoir lu par quelques âmes invisibles me donne l'impression d'être entendue dans ma douleur.

« Avec une solennité bouleversante, tu m’avais promis que tes peurs de détruirais pas notre relation…

Et, malgré la difficulté face à tes troubles de l’humeur et l’explosion de tes réactions, j’ai, chaque fois, choisi de t’aider en t’accompagnant du mieux que je le pouvais et, je le reconnais, parfois mon « accompagnement » laissait plus qu’à désirer… et pour cause, ces fois-là, la violence des clashs me mettaient à terre.

Pourtant, par amour pour toi, pour nous, pour notre relation, je choisissais de t’accorder ma confiance, même si, je l’avoue, à deux reprise j’ai baissé les bras et avait choisi d’arrêter cette relation dans laquelle l’investissement que j’y mettais me prenais toutes mes forces sans espaces de paroles pour y trouver un soutient parce qu’il t’est désagréable d’entendre ce que tes réactions ont provoquées.

La 1ere fois, je t’ai vu tellement désemparé face à la distance que je t’avais demandé d’observer, que j’ai repris un dialogue par sms puis téléphone, puis tu es venu et, au summum de l’émotion, me promettais de dépasser l’inconfort et de te lancer dans le dialogue, aidé par « la boite »…

La seconde fois, comme il était totalement impossible de faire une phrase entière si son contenu se rapportait à ma difficulté à gérer la douleur accumulé par les clashs répétitifs, j’avais choisi de te l’exposer en présence d’un tiers : le psy.

Ce jour-là je pensais prendre le risque de rentrer du psy seule, pensant que tu serais partit en colère à l’écoute de mes propos.

Ce jour-là, je m’étais dit que, colère ou pas de ta part dans le cabinet du psy, la relation s’arrêtait le soir même.

En fait, ta réaction m’a surprise, j’ai réellement cru que tu te remettais en questions, j’ai réellement cru que tu me comprenais lorsque j’ai exposé que j’avais besoin d’être ménagée, que j’avais besoin d’être écoutée dans ma douleur, que j’avais besoin que tu sois patient quand à retrouver une femme joviale, dynamique et positive, que j’avais besoin de temps pour me donner intimement, que j’avais besoin que tu « répare » les bouts de moi cassés dans les clashs…

Tes pleurs sur le chemin du retour m’ont bouleversé et j’ai réellement cru que tu avais compris que l’accumulation des clashs générés par tes peurs, peuvent être d’une violence inouï pour celui qui les reçoit et, laisser une blessure qu’il est difficile (très difficile) de panser seule et qui, au bout d’un moment handicape mon quotidien, ma capacité à aller de l’avant.

Je savais que la suite n’allait pas être facile mais, j’ai choisi comme l’année passée à la même période, de t’accorder ma confiance, de nous faire confiance.

Les 6 semaines qui ont suivi ont été délicieuses. Et, les quelques difficultés rencontrées ont été dépassées avec une facilité plus ou moins évidentes, mais dépassées.

Puis, le temps sans l’aide d’un psy a duré un poil trop longtemps… et tes peurs ont repris le gouvernail de ta vie

Et, je me débats dans une souffrance qui me paralyse, tentant de ne pas sombrer et laisser s’écrouler tout ce que j’ai construit ces cinq dernières années… »

A présent je doute fortement du bienfait de cette action, car déjà je sens une "attente" se profiler au sein de mon plexus solaire.

En petit bouts je suis, entière je serais...

 

7 avril 2020

Etapes de deuil….

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Les hauts et les bas d’un travail de deuil me traversent et me transpercent…

 

La culpabilité de ne pas avoir suivi mon instinct à mettre de la distance lorsque beaucoup trop tôt il me disait « je t’aime »

La tristesse d’avoir effleuré tous ces projets que nous voulions en communs et nés de nos gouts en communs

Le déni lorsque j’imagine mes réactions possible lorsqu’il se manifestera

La dépression face au célibat et tous ces mauvais aspects qui se profilent…

La colère contre lui lorsque je repense à toutes ses promesse de faire attention à moi, d’être patient, de ne pas laisser ses peurs détruire la relation

La négociation lorsque j’imagine le déroulement des entrevues à venir qui auront lieu quoiqu’il se passe…

L’acceptation lorsque j’analyse les possibilités (proches de zéro) qu’un réel changement ait lieu

La reconstruction alors que je me lève se matin pleine de motivation pour effectuer des tâches laisser en suspend et surtout reprendre des projets important pour moi, mon avenir et l’atteinte de mes objectifs….

 

Toutes ces étapes vont et viennent mais, pour la 1er fois hier soir, la boule qui m’oppressait au niveau du plexus solaire a laissé place à une sorte de soulagement et m’a permis de m’endormir plutôt facilement.

J’ai dormi de minuit à 6h… court pour moi, mais bien mieux que la moyenne de ces dernières semaines !

 

Hier soir, après un échange très instructif avec une amie, j’ai analysé le fait que peut-être il souffrirait d’un trouble de l’humeur dit « bipolarité »…

 

Au début, je n’y croyais pas, n’ayant pas observé de phases dépressives.

 

Et si ces phases étaient tout simplement les moments « post colère » ?

 

J’ai une amie qui est bipolaire et, de la même façon, je ne lui connais pas de phases dépressives comme on peut l’entendre. Elle sombre, elle se dénigre, mais ses phases de dépression, sont ponctués de pics maniaques : sortir pour faire n’importe quoi histoire d’échapper à la douleur du moment, boire, fumer, acheter… tout cela fait aussi bien partit des phases maniaques que des phases dépressives…

Eh bien, pour lui, j’ai observé que, de la même façon, il sombre dans le désespoir après une « crise » maniaque qu’il tente d’étouffer avec de l’alcool et en fumant énormément.

 

Cela m’a soulagé de comprendre que ce n’était pas « lui » qui me faisait du mal, que je n’étais pas un objet « souffre-douleur » pour lui, qu’il m’aime réellement mais qu’il est emprisonné dans sa tête.

 

Ceci étant, c’est… sans espoir…

 

La seule issue possible pour sortir d’une telle prison c’est un changement RADICAL d’hygiène de vie couplé d’un suivi REGULIER avec un psy…

 

Le problème c’est que j’ai toujours cru au père-noël, la petite sourie, les œufs de paque, etc.… je vis dans le monde d’Alice…

 

Enfin, pour l’heure, je vis au jour le jour affrontant chaque problématique exactement comme s’il m’était IMPOSSIBLE de recevoir de l’aide de sa part, c’est-à-dire comme si j’étais présentement célibataire.

 

Ça me donne du courage car ça me gratifie.

 

Demain est un autre jour et ce jour, j’ai un RDV visio avec un psy pour m’aider à y voir plus claire…

6 avril 2020

Miroir ho, bÔ miroir, dis moi que je suis bon

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Un mois demi que j’ai commencé ce blog afin de pouvoir y déverser le trop plein d’émotions qui me polluent…

A cette époque la relation était si tendue que je pensais sérieusement à rompre.

Lorsque l’on s’est rendu chez le psy pour la 1ère fois, j’y suis allée avec l’intention de « vider mon sac » et de rentrer seule après un point finale à cette relation.

Contre toutes attentes cette 1ere consultation s’est déroulée d’une façon très positive et constructive.

A mon grand, très grand étonnement, j’ai constaté d’énormes changements dans son comportement dans les semaines qui ont suivis. Il faisait des efforts, plus que l’on puisse l’espérer.

J’ai repris confiance, j’ai retrouvé une vitalité, j’étais bien. Pendant 6 semaines.

Confinement oblige, il n’a plus de suivi psy et, de nouveau il ne sait pas faire face à l’image que lui renvoi le miroir que je suis.

Samedi dernier il a de nouveau pété un câble (le 3em en 10 jours), sur un ton agressif et accusateur, il m’a reproché d’être invivable, il m’a dit adieu et qu’il partait.

Qu’est-ce que j’ai fait ? Exactement ce qu’il ne faut pas faire : je l’ai supplié de rester, de s’assoir là, en pleine nature. J’étais terrorisée à l’idée qu’il rentre à la maison dans cette état de furie et que mon fils qui vient d’aménager chez moi, le voit sous ce jour-là, lui qui l’estime et qui lui fait confiance….

Il a accepté de s’assoir. Je me suis engagée, j’ai donné ma parole de ne plus parler du passé, quel qu’il soit (en gros je me suis rabaissée plus bas que terre !) Je lui ai demandé de s’engager à accepter d’entendre mes opinions, remarques sans le prendre mal et se mettre en colère, il s’y est engagé.

On a continué notre petite promenade main dans la main. On reprend une discussion sur le « présent » et il s’auto flagelle lorsque fais une remarque… je lui fais remarquer qu’il avait promis, il me dit que s’est pas contre moi, mais qu’il se sent minable…

On rentre. Lorsqu’on arrive à la maison, il charge quelques affaires dans son véhicule. Face à mon questionnement, il m’explique qu’il ne sait pas s’il reste…

Je lui réponds que j’aimerais bien qu’il sache, par confort… -c’est quand même le jour de mon anniversaire-… mais il ne sait pas… Je vais faire des courses, lorsque je rentre, il est partit, emmenant tous ses vêtements et une grande partie de ses affaires.

Me voilà seule pour « fêter » mes 55 ans et faire l’amer constat que sans un suivi psy régulier, il est impossible d’espérer avoir une relation sereine avec ce genre d’homme : nos relations sont des miroirs et ce qu’il voit dans le miroir que je suis lui est insupportable, il explose alors ; ensuite, lorsqu’il est confronté aux conséquences de ces explosions, c’est-à-dire ma difficulté à vivre avec ces blessures, il explose de nouveau ; ensuite il fait un transfert : je suis la responsable des clashs qui reviennent tous les 4-5 jours… ben oui : j’existe.

La seule façon pour lui de ne plus être face à cette image qu’il ne supporte pas, c’est de casser le miroir… c’est-à-dire moi, la relation…

Pour ensuite regretter amèrement de l’avoir cassé…

Mais, à l’heure actuelle, je ne pense pas qu’il soit dans les regrets… il juste capable d’observer une douleur qui revient tous les 4-5 jours et il me l’impute… Et, pour taire cette douleur, il faut m’effacer… peu importe que ça me détruise ou pas…

C’est cool le confinement !

 

25 février 2020

Jeûne suite

48em heure de jeûne... beaucoup plus confortable que les 1eres heures où (contrairement à maintenant) je ressentais la faim...

En fait, plus on mange d'aliments lourds à digérer, plus on ressent la faim... et, la veille de démarrer mon jeûne, j'avais fait quelques abus quand même...

Mais bon, ce n'est pas le sujet, même si le titre en parle.

Pas de réseau téléphone chez moi, hormis quelques petites fenêtres d'1/2h à 3/4 heures une ou deux fois dans la journée... ce qui m'a permis de poster ce message...

Cette "coupure" me fait du bien. Pas de coup de téléphone, pas de sms, c'est calme, c'est bon.

Force est de constater que les heurts qui ont parsemés la relations m'ont fortement impacté.

D'ailleurs c'est précisément cela qui nous a conduit chez le psy. "Il" a fait plusieurs crises violentes et agressives et, n'en pouvant plus j'ai tenté de lui expliquer que les répercussions de ses crises devenaient trop lourdes. Et bien, il n'a pas aimé que je fasse allusion au "passé" (passé datant de quelques jours, quelques semaines, quelques mois...).

Après sa dernière crise, je lui ai dit que je prenais rdv chez un thérapeute de couple, qu'il vienne ou pas. Il voulait venir. J'ai pris ce rdv pour pouvoir dire, déverser mes peines, mes blessures et... en finir, mettre un point final à cette relation que je voyais comme toxique.

Chez le psy, il est comme "tombé des nues". Sur le retour il pleurait de réaliser à quel point il m'avait fait mal. Depuis il fait des efforts en permanence. Je ne le reconnais plus, c'est une autre personne. Mais... je ne sais pas qui il est. D'où mes doutes et mes questionnements.

On passe de bons, même très bons moments mais... Oui, bien sûr qu'il y a un "mais".

Il a reçu une "claque" lors de la consultation chez le psy. Depuis il fait des efforts de chaque instant car, sa plus grande peur est de me perdre. Cela n'aide pas la communication car, il a toujours ses peurs originels et sa blessure de rejet béante.

Alors, je me retrouve un peu trop souvent pour ne pas dire tout le temps dans la peau d'un psy qui fait gaffe à ce qu'il dit, qui mesure ses paroles, qui choisi le bon moment pour aborder tel ou tel sujet, qui tempère, qui patiente, qui comprend...

Du coup, des petits détails de la vie courante empoisonne notre relation car, comment dire à un écorché vif ultra suseptible qu'il a mal fait ca, qu'il a oublié un truc, qu'il a tort sur tel sujet, qu'il exagère ??? Y'a que deux solutions : soit je me tais, soit je prépare mon disourts en choississant mes mots, afin d'éviter la tenssion...

C'est pas vraiment comme ça que je vois la vie de couple. Il me dit et me remercie sans cesse pour l'aide que je lui apporte, pour lui avoir ouvert les yeux, pour le guider vers une meilleur version de lui même, qu'il se sent mieux, qu'il ne veut plus revivre les colères qu'il a connu...

Mais... moi, qui m'aide ? Je dirais que ces faits m'aident à voir la "relation" sous un angle différent, moins "idyllique", plus réelle. Souvent je me dis : "et, si c'était moi qui avait pété un cable, je ne serais pas heureuse d'avoir rencontré quelqu'un qui me pardonne et m'aide à avancer ?

Oui, bien sûr.

Car, en me projettant dans l'avenir, seule à repenser au positif de cette relation (car il y en a... beaucoup) je sais que je regretterais d'être passé à coté de quelque chose...

J'ai passé la cinquantaine. Aujourd'hui, la vraie question, ne serait-elle pas : "veux-tu passer le reste de ta vie à chercher le prince charmant, ou acceptes-tu l'imperfection ?

Il n'y a pas de rencontre hasardeuse. Lui, m'a rencontré pour guérir de sa blessure de rejet et réussir à ne plus se mettre en colère à la moindre contrariété. Moi, il semblerait que je l'ai rencontré pour m'affirmer, réussir à vivre comme je l'entends, sans me soumettre (mais dans le respect !)...

Chaque fois que mon esprit se calme, c'est la conclusion que je me fais.... jusqu'à l'après-week-end suivant...

Qui a dit que la vie était un long fleuve tranquille ???

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24 février 2020

Jeûne

043980-000_fastenundheilen_02_0-500x284Ce soir, j'en suis à ma 15em heure de jeûne et, mon esprit vagabonde...

Il y a quelques années j'avais écris un blog et, j'avais aimé coucher des mots dans cet espace virtuel. Cela m'avait aidé à avancer, à comprendre mes noeuds de l'époque...

Ce soir, je tombe sur une pub de canalblog... la curiosité m'entraine à lire quelques brides de blog sentimentaux car, c'est le sujet de mes reflexions ce soir...

A ce jour la relation sentimentale que j'entretiens, dure depuis un an et trois mois. Et, nous voyons un thérapeute de couple depuis un mois.

Je me dis que ça en est presque risible puis, je me dis aussi que c'est peut être une chance.

La chance d'avoir croisé la route de quelqu'un qui, comme moi, comme la plupart d'entre nous, a des défauts, des travers et, est prêt à travailler sur lui pour adoucir ses angles saillants, nous permettre de construire notre relation sainenement...

Alors, pouquoi suis-je perturbée lorsqu'il s'en va et le lendemain qu'il soit partit...

Et, pourquoi suis-je si bien après 24h, si bien de savourer la solitude que j'apprécie ?

j'ai décidé de reprendre un blog pour tenter de comprendre cela...

Pour répondre à cette question :

La vie de couple me fait-elle peur au point de ne voir que ce qui ne va pas, ou... suis encore tombée sur un tordu ?

 

 

 

 

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